Anxiété de performance : Le jour où j’ai vaincu cette envie de réussite à tout prix

Anxiété de performance: le jour où j’ai vaincu ce besoin de réussite à tout prix

Anxiété de performance: le jour où j’ai vaincu ce besoin de réussite à tout prix.

«C’est la chance de ta vie, ne la loupe pas!»

Une petite phrase que l’on entend souvent et qui génère pourtant une anxiété de performance maximale au moment de se lancer.

Imaginez être face à l’entretien de votre vie, au job de vos rêves ou face à la formation professionnelle qui vous intéresse, et pourtant vous vous trouvez pétrifié(e)…

Réussir semble alors la seule option.

Mais en fait… qui a dit ça?

L’anxiété de performance ou la réussite à tout prix vous guette: gare à vous!

Anxiété de performance

Salut, c’est Nicolas, l’auteur de ce blogue. Dans cet article invité, Ambre Djonouma vous partage de quelle manière elle a réussi à dépasser son anxiété de performance. Elle vous partage ainsi de judicieux conseils. Bonne lecture!

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L’anxiété de performance ou la réussite à tout prix?

Ressentez-vous fréquemment de l’anxiété?

Personnellement, l’anxiété a été une grande partie de ma vie, et l’est encore.

C’est l’émotion dérivant de la perception d’une menace.

La perception que nous avons des menaces varie d’ailleurs selon les personnes.

Il y a d’abord les menaces réelles: essayez un peu de ne pas ressentir d’anxiété en face d’une cage avec des lions!

Peu probable.

Et il y a aussi les menaces perçues, qui sont les plus fréquentes: essayez de ne pas ressentir d’anxiété face aux regards des autres ou à leur évaluation.

De son côté, l’anxiété de performance est l’anxiété qui s’applique à un domaine spécifique de notre vie.

Dans cet article, je vais vous faire découvrir ce trouble si spécial.

Définition de l’anxiété de performance

L’anxiété de performer, qu’est-ce que c’est?

C’est la peur, plus ou moins élevée, d’échouer face à une situation perçue comme importante.

Un entretien professionnel peut par exemple sembler lourd d’enjeux, lorsqu’il est pour le job de nos rêves.

L’anxiété nous barrera pourtant la route à ce moment-même!

Réussir devient alors important, tandis qu’échouer devient l’issue à absolument éviter: c’est le début de cette réussite à tout prix.

Selon Palazzolo et Arnaud (1), cette anxiété compétitive suivrait un processus en quatre phases:

1. La situation

Ce sont les exigences perçues d’une situation qui font que l’on ressent de l’anxiété.

La situation nous paraît lourde d’enjeux, et c’est pour cela qu’il nous «faut» réussir.

2. La perception

C’est le décalage entre la perception de nos capacités et les exigences de la situation qui font que notre radar s’allume.

Sentiment de menace et anxiété à la clé…

3. La réponse

La perception de cette menace augmente le sentiment d’anxiété, et les émotions négatives qui y sont reliées.

Symptômes physiologiques et inquiétudes à la clé…

4. Le comportement

Notre comportement dans la situation diffère alors selon notre niveau d’anxiété: conduite d’évitement, d’affrontement, et réactions diverses.

Être anxieux à l’idée de «performer» ou de devoir réussir dans une situation d’évaluation est donc complexe, mais quelles en sont les causes?

Les causes de l’anxiété de performance

Les causes de l’anxiété de performance sont multiples.

Selon Delignières (2), cette pression de réussir à tout prix serait causée par deux facteurs particuliers:

1. L’incertitude du résultat

Plus on a peur de ne pas réussir à atteindre son objectif, et plus on a de l’anxiété: c’est la confiance ou non en nos capacités.

Si nous ne croyons pas assez en nous, alors la possibilité d’échouer créera en nous de l’anxiété.

Il y a aussi d’autres facteurs qui entrent en jeu: des échecs subis par le passé, une estime de soi fragilisée…

L’anxiété de performance s’installe lorsque l’incertitude est bien en place: gare à vous!

Ce sont vos doutes qui y contribueront.

2. L’importance donnée au résultat

Plus on donne de l’importance à l’objectif à atteindre et plus on a d’anxiété: c’est la pression de réussir.

Si nous mettons trop de poids sur un objectif, alors la pression de réussir créera en nous de l’anxiété.

Il y a aussi d’autres facteurs qui entrent en jeu: l’estime de soi, l’image renvoyée aux autres, la préservation de son image.

Souffrir d’anxiété de performance n’est pas si facile!

J’ai pu en faire l’expérience et j’ai dû apprendre à dépasser cette pression de la réussite à tout prix.

Anxiété de performance

Quand la pression de réussir m’empêchait d’avancer

Une grande partie de ma vie a été marquée par l’anxiété.

Cette émotion si difficile, mais aussi si présente dans mon quotidien.

La peur était là.

Mais à l’inverse, l’envie d’avancer était également présente.

Il y a avait donc cet écart entre mes peurs et mes objectifs de vie.

Je me suis heurtée à ce sentiment de devoir réussir à tout prix, lorsque je me suis lancée dans le blogging et le web il y a un an de cela.

Lancer une entreprise, ou même se lancer dans un nouveau projet, cela peut aussi donner la sensation que l’on n’a pas le droit à l’erreur.

«Tu ne peux pas te louper! C’est le moment pour toi.»

«Tu as tant investi! Regarde le temps et les efforts que tu as consacrés.»

«Il faut absolument que tu réussisses, il n’y a pas d’autre option.»

C’est ce genre de petites phrases qui se développent dans notre esprit en arrière-plan, jusqu’à devenir un bruit sourd, que l’on a tendance à oublier…

Mais les pensées ne sont jamais loin!

Il suffit d’une situation pour les réveiller, une situation justement dite «de performance».

On dit souvent «fail fast… learn fast!»…

Mais quand on s’investit à 1000%, on a envie de réussir et d’y arriver, bien plus que d’échouer.

C’est la pression de réussir et la peur d’échouer, et je peux vous dire que cela n’a pas été facile à mes débuts.

Mes blocages à mes débuts

Avez-vous déjà entendu cette phrase: «Tu es jeune! Tu auras tout le temps de te refaire. Même si tu échoue maintenant, ce n’est pas grave.»

Et je comprends cela.

On veut tous se lancer dans des projets lorsqu’on est jeune, et certains marchent, d’autres non, c’est la vie…

Mais pour une personne au tempérament anxieux comme moi, les obstacles étaient déjà majeurs avant de commencer: les blocages mentaux sont les pires!

Imaginez devoir escalader un obstacle que vous ne voyez pas, qui n’existe pas pour les autres, mais qui pourtant existe pour vous…

Complexe…

J’avais des projets, des rêves plein la tête, et l’anxiété me stoppait.

Alors autant vous dire qu’investir tout mon argent d’étudiante n’a pas apaisé ces peurs.

Choisir de tout donner dans un projet, c’est un peu quitte ou double.

C’est ça qui donne aussi cette pression de réussir, on n’a l’impression qu’il n’existe aucun autre choix!

Or, la réalité est toute autre.

Réussir ou échouer, ce sont les deux faces de la même médaille.

On ne peut pas tomber sur pile à chaque fois, même si on l’espère.

L’anxiété de performance, c’est comme refuser de tomber sur face, ce qui pourtant est inévitable.

C’est au fil du temps que j’ai compris qu’échouer faisait parti du deal.

Mais ce n’était pas facile au début.

Échouer, ça ne fait jamais plaisir, surtout lorsqu’on est en pleine construction de soi.

Comment gérer cette pression ajoutée?

Les conséquences de l’anxiété de performance

Vouloir réussir à tout prix, c’est aussi ne pas vouloir échouer. On peut avoir l’impression d’avoir trop à perdre si l’on échoue.

Personnellement, j’ai mis du temps à apprendre que l’échec était normal.

Comment apprendre si l’on n’échoue pas? Comment rectifier le tir?

Mais en même temps, comment préserver son estime de soi lorsqu’on échoue?

Est-ce même possible? Tout un programme…

Quand j’ai voulu me lancer dans le blogging et aider les personnes anxieuses comme moi, j’ai ressenti cette pression de devoir réussir.

Il y avait la pression de devoir réussir rapidement: obtenir tel nombre de visiteurs en quelques mois, tel chiffre d’affaires avant la première année, etc.

On veut réussir, mais réussir rapidement, parce que sinon ce n’est pas assez. Je ne savais pas encore que l’anxiété de performance me guettait!

On veut réussir, mais voir les choses en grand comme les réussites que l’on nous raconte à la télé…

Sauf qu’ici, c’est la vraie vie.

Et j’en ai appris beaucoup depuis même si je ne suis qu’au début.

Anxiété de performance

L’anxiété de performance: une pression invisible

Souffrir d’anxiété de performance, c’est aussi ressentir une pression invisible sur ses épaules.

Personne ne le voit à part nous.

Vous imaginez?

On porte tous un poids invisible sur les épaules d’une certaine façon. Certaines de nos difficultés ne sont pas visibles par tous.

Par exemple, l’anxiété est une souffrance que les autres ne perçoivent pas toujours, mais qui est pourtant difficile à vivre et à ressentir.

Croyez-moi, j’ai passé des années à essayer de m’en sortir, tout cela pour comprendre deux choses que l’on ne peut apprendre que sur le terrain:

1. Il y a des choses que l’on ne peut pas changer.

Je parle par exemple de votre tempérament, de certains traits de votre personnalité.

Les accepter est parfois plus simple que d’essayer de les cacher ou de les combattre.

2. Il y a d’autres choses sur lesquelles on peut agir.

Je parle par exemple de votre comportement et des pensées que vous cultivez.

Y travailler est souvent la meilleure des décisions à prendre.

Si vous faites face à une situation qui vous crée de l’anxiété de performance, n’oubliez pas ces deux aspects-là.

Il y a des choses que vous ne pourrez pas changer, comme la situation ou le contexte particulier.

Par contre, vous pourrez toujours agir sur vous et vos pensées.

La pression de réussir à tout prix

L’un des premiers moments où j’ai ressenti cette pression de la performance fut sur le stade d’athlétisme.

J’avais l’habitude de faire des compétitions de vitesse étant petite.

Je me souviens d’une course où tous mes proches étaient présents… Si vous saviez la pression!

Courir pour moi, oui. Mais courir aussi pour les autres…

Mon cœur battait sous le coup de l’anxiété, guidée par cette pression de réussir et de prouver aux autres que je pouvais y parvenir.

J’étais prête à utiliser cette peur comme moteur, mais je savais également qu’elle pouvait se transformer en un frein.

Tout dépend de la façon de négocier avec la peur mais aussi du niveau d’anxiété ressenti.

Et puis mes proches étaient présents, ce qui augmentait cette anxiété de performer à tout prix.

Trois, deux, un… Partez!

La peur d’échouer me portait, me poussait en avant: on aurait dit que j’allais m’envoler!

Sauf que je pensais tellement à battre les autres que j’oubliais une chose…

La concentration.

Je prêtais plus attention à la performance des autres qu’à la mienne, ce qui n’est pas vraiment une bonne idée…

Alors je peux vous dire que les autres m’ont doublée.

La pression de réussir avait créé une «anxiété compétitive» qui m’a détournée du résultat.

Argh… Mais était-ce un échec ou… une opportunité d’apprendre?

Réussir ou échouer: le choix est fait

Ce qui fait que l’échec est difficile, c’est surtout le poids qu’on lui donne.

Une autre personne dans la même situation ne réagira pas comme vous.

C’est le poids que l’on donne aux situations, et j’avais donné un poids énorme à cette course.

Aujourd’hui, je me rends compte à quel point j’ai évolué.

En regardant en arrière, on se rend compte du chemin parcouru.

Ce n’est pas pour autant que l’échec ne fait plus peur, ou qu’il fait moins peur.

Je suis encore en chemin, et je sais que vous aussi.

J’avais finalement testé le «fail fast, learn fast»! Autant échouer tôt et vite, que tard et lentement.

Au moins, on chute moins violemment et on a le temps de comprendre ce qui nous est arrivé.

Le moi d’il y a 10 ans sur le stade d’athlétisme n’avait pas encore cet état d’esprit!

Normal. J’avais devant moi une opportunité de me détacher de cette anxiété de performance, pour comprendre ce qui importait vraiment.

Faire ce que l’on aime, en présence de personnes que l’on apprécie, en se donnant à fond sans rien regretter.

Se concentrer sur l’essentiel.

J’ai mis du temps à comprendre que la pression de réussir n’était pas que dans notre façon de voir les choses, mais aussi dans le monde dans lequel on vit.

Grâce à ça, j’ai pu commencer à avancer et à décoder cette pression invisible qui pesait sur mes épaules et sur celles de beaucoup d’autres.

Les premiers signes de ma libération

«Ne te prends pas la tête!», «Arrête de te mettre la pression!», «T’inquiète, ça va aller.», «Si tu échoues ce n’est pas grave.»

Parler à des personnes proches de nous aide aussi à prendre du recul sur cette course à la performance.

Un peu de bienveillance ne fait pas de mal.

Ces petites phrases sont faites pour rassurer, mais il nous faut surtout apprendre à relativiser. La situation n’est pas si grave.

Et puis si l’on échoue, il existe le plus souvent une façon de réparer les choses. Ou alors de recommencer d’une meilleure façon, en apprenant de nos erreurs.

Je parlais à l’un de mes frères un jour, et je lui disais que j’avais l’impression qu’il existait une pression constante d’obtenir des résultats.

Il m’a dit: «C’est à cause de la société tout ça. On ne parle que des chiffres et des résultats, alors ça ne m’étonne pas.»

Et je me suis dis, mais c’est vrai…

Nous vivons constamment dans une course aux résultats, et on en oublie l’importance du processus. On ne voit que l’arrivée.

Et la société alors?

Lorsque vous allumez la télé le matin, qu’est-ce que vous voyez?

Les chiffres de la météo, les réductions du téléshopping…

Puis, il y a le nombre de notifications sur votre téléphone.

Et le midi, qu’est-ce que vous voyez?

Les catastrophes chiffrées dans les bulletins d’information, la cagnotte des jeux télévisés qui ne cesse d’augmenter…

Et le soir, qu’est-ce que vous voyez?

Le tirage de l’euro-million, les propositions de voter pour gagner 10000 euros pendant la pub…

Notre société est menée par les chiffres, la recherche de résultats et la consommation, alors il n’est pas surprenant que l’on soit tous centrés sur ça!

Je me surprends souvent moi-même à regarder les chiffres, les paliers que je passe pour mesurer ma réussite, alors qu’il y a beaucoup d’autres indicateurs.

Progression

Et si l’on commençait à regarder notre progression générale plutôt que nos résultats particuliers?

C’est la progression globale qui mesure aussi notre réussite.

Évolution

Regardons-nous notre évolution particulière?

Chaque personne est différente, et une évolution pour vous sera peut-être plus importante que pour une autre personne.

Améliorations

Avez-vous un peu plus avancé par rapport à là où vous étiez il y a quelques temps?

Même vos petites améliorations comptent, et il faut les remarquer.

Cependant, c’est aussi la façon dont la société est façonnée.

Si nous sommes entourés de chiffres, nous commençons à voir le monde à travers ce prisme.

D’où cette fameuse anxiété de performance.

Et oui. La cause de cette peur ne se trouve pas seulement dans notre incertitude et dans l’importance que l’on donne aux choses.

C’est aussi l’environnement dans lequel on vit, et ses règles.

Si vous êtes peintre, vous aurez sûrement moins d’anxiété de performer que si vous êtes coureur de sprint.

«Vous avez fait 400 mètres en 12 secondes: c’est votre record! Il va falloir descendre sous la barre des 12 secondes la prochaine fois.»

L’activité de peintre est en effet beaucoup plus centrée sur le processus que le résultat, le fait de peindre plutôt que sur le nombre de toiles.

D’où le début de ma réflexion…

Remise en question

Quand avons-nous décidé d’oublier d’apprécier nos activités pour nous centrer juste sur la recherche de résultats?

En fait, il y a bien plus.

Quand vous commencez une nouvelle activité, comme par exemple la course, la danse, la musique…

Est-ce que vous vous demandez:

Profil A

Quels résultats vous allez obtenir?

A quelle vitesse vous allez dépasser les autres?

Quand est-ce que vous serez au même niveau que les meilleurs?

Si vous correspondez à ce profil, alors vous aurez plus de risques de souffrir d’anxiété de performance.

Ou alors…

Profil B

Quelle progression allez-vous avoir?

Comment allez-vous apprendre de cette expérience?

Comment évoluer et faire des progrès dans cette nouvelle activité?

Si vous correspondez à ce profil, alors vous aurez beaucoup moins de risques de souffrir de cette peur.

Alors choisissez votre camp.

Et prenez le temps qu’il vous faudra pour passer du profil A au profil B, comment j’ai pu apprendre également au fil de mon parcours.

Anxiété de performance

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Le jour où j’ai compris

Cela m’a pris du temps, mais j’ai enfin compris comment lutter contre l’anxiété de performance et la pression de réussir à tout prix.

Cela m’a pris:

Du temps

Je n’ai pas appris à me défaire de cette pression de performer du jour au lendemain!

Chaque jour, un peu plus, j’ai compris qu’il fallait m’en détacher.

Des efforts

La pression du résultat est tellement installée dans notre système que cela demande beaucoup d’efforts d’aller à contre-courant.

Mais cela en vaut la peine.

Des apprentissages

Pour vaincre l’anxiété de performance, il faut aussi comprendre les vertus de l’échec et se détacher de la prétendue réussite.

Pour enfin voir ses évolutions.

Derrière la peur

Le jour où j’ai compris que l’anxiété de performance pouvait me servir de moteur fut le jour où je me suis rendue à un salon de l’étudiant dans ma ville.

On m’avait proposé de faire un pitch (courte présentation d’un projet) et j’avais moins de 15 minutes pour me préparer.

Banquiers et entrepreneurs en face.

Pour une anxieuse comme moi, mon sang n’a fait qu’un tour…

Mais c’est la passion qui m’animait et qui m’a guidée. La pression de performer également.

Et si je pouvais transformer cette pression en moteur, plutôt qu’en frein?

Et s’il était possible pour moi d’y arriver? Toutes les questions fusaient, et puis…

«C’est à votre tour!»

Panique totale!

Enfin utilisons la méthode «fake it until you make it» et faisons comme si la pression nous poussait à avancer et à faire encore mieux.

C’est en transcendant la peur que je pourrais y arriver.

Alors j’ai pris mon sac de courage et je l’ai porté. Ce fut le meilleur pitch que je n’ai jamais fait.

Défaire les chaînes

Ce que je veux dire, c’est que tout ce que vous voulez, tout ce dont vous rêvez, se trouve juste derrière la peur.

Il faut défaire les chaînes.

On s’enferme dans l’anxiété et la peur d’échouer, alors qu’en fait il suffit juste de se lancer.

Alors oui on a envie de réussir. Mais échouer fait aussi partie du jeu.

Lorsque vous lancez une pièce de monnaie, gardez toujours en tête que les deux côtés peuvent tomber.

Dans la vie également.

Réussite ou échec, tout est ce que l’on en fait.

Vous pouvez réussir et tout gâcher après, ou échouer et tout reconstruire merveilleusement bien.

L’échec n’est pas si grave. C’est le fait d’abandonner qui l’est.

Vous avez un témoignage à partager?

Vous connaissez cette pression de la réussite à tout prix?

Cet article vous a aidé?

Les commentaires sont là pour vous!

Références

1. Palazzolo, J. et J. Arnaud (2013). «Anxiété et performance: De la théorie à la pratique», dans Annales Médico-psychologiques, vol. 171, no 6, p. 382-388.

2. Delignières, D. (1993), «Anxiété et performance», dans Jean-Pierre Famose (dir.), Cognition et performance, INSEP-Éditions, p. 235-254.

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